Comment vaincre ses peurs et traumatismes et être 100% actrice de son accouchement...
Les femmes traumatisées par leur accouchement continuent d’augmenter de jour en jour alors qu’il n’y a jamais eu autant de cours de préparation à la naissance.
Les femmes ont tout en elles pour y arriver mais le problème c’est qu’elles reçoivent les mauvaises informations dans leurs cours de préparation à l’accouchement.
Ma méthode QST© en 3 étapes est ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle et vous allez comprendre pourquoi.
Avant cela, voici quelques chiffres à connaître :
En France, il y a 800’000 naissances par an
Dans le monde, à chaque seconde, 4 bébés naissent
40% des femmes se disent traumatisées par leur accouchement
25% des couples se séparent dans les premiers mois qui suivent la naissance
* Accès illimité 24h/24, à vie - Paiement jusqu’à 6x sans frais - Accès groupe privé Facebook
Pourquoi les cours de prépa classiques ne fonctionnent pas ?
Les cours de préparation classiques à la naissance continuent de véhiculer de fausses croyances.
Les professionnels qui les donnent ne connaissent pas la physiologie de l’accouchement.
Ils ne connaissent pas l’effet toboggan et donnent donc des conseils qui vont causer des problèmes lors de l’accouchement.
Les femmes traumatisées par un accouchement précédent pensent que c’était de leur faute et ces cours vont les conforter dans l’idée qu’elles n’ont pas été capables.
La méthode QST© en 3 étapes est ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle.
"Comment vaincre vos peurs et vos traumatismes pour enfin vivre l’accouchement de vos rêves…"
Étape 1 : Quitter ses peurs et ses fausses croyances
13 podcasts
Étape 1 : Quitter ses peurs et ses fausses croyances
Étape 2 : Se (re)connecter à ses capacités
6 vidéos
Étape 2 : Se (re)connecter à ses capacités
Étape 3 :
Tout savoir sur le jour J
12 vidéos
Étape 3 :
Tout savoir sur le jour J
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Un conjoint 100% investi grâce à des contenus pour lui
Les futures mamans rêvent d’un partenaire impliqué et investi dans la préparation à la naissance du bébé, mais cela est souvent compliqué car le partenaire ne comprend pas l’importance de son rôle.
Un partenaire motivé et qui se sent inclus dans l’aventure de la naissance, c’est un couple + solide et + complice pour la suite !
Cette prépa en ligne est la seule qui parle directement au futur papa, sans filtre ni chichi, avec un langage “spécial hommes“.
Pascal, le conjoint d’Ema, participe à 100% à cette prépa et propose un suivi perso pour les futurs papas qui peuvent lui écrire à tout moment par mail.
Un extrait de la vidéo “spécial hommes”
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Ça donne quoi un accouchement qui se passe mal ?
3 évidences à connaître absolument
Ce qu'en disent les mamans qui ont suivi la prépa d'Ema
Cindy, de Bali 🏝️
★★★★★
“Ce que je peux dire c’est que 4 ans auparavant, pour mon premier enfant, rien de ceci n’aurait été possible. Cette fois, si nous avons pu garder notre sang froid, mon mari et moi, c’est que nous étions préparés.”
Ce qu'en disent les mamans qui ont suivi la prépa d'Ema
Cindy, de Bali 🏝️
★★★★★
“Ce que je peux dire c’est que 4 ans auparavant, pour mon premier enfant, rien de ceci n’aurait été possible. Cette fois, si nous avons pu garder notre sang froid, mon mari et moi, c’est que nous étions préparés.”
Les garanties de la méthode QST©
JE VOUS GARANTIS QUE MA METHODE FONCTIONNE MAIS TOUT LE MONDE N’EST PAS CAPABLE D’Y ARRIVER POUR AUTANT.
Et souvenez-vous :
Vous êtes capable !
Ema Krusi
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• Créé par Pascal Prod' • Conditions • Confidentialité
Vous allez ensuite vous reconnecter à vos capacités grâce à une série de vidéos claires et simples qui comparent l’accouchement naturel avec l’accouchement mis sur l’effet toboggan.
Vous allez comprendre comment les problèmes peuvent arriver et comment les éviter.
Vous allez découvrir les deux récits de naissance d’Ema : le premier, médicalisé à l’hôpital, et le second à la maison, dans l’eau.
Votre partenaire est 100% inclus dans cette étape et une vidéo « spéciale homme » réalisée par Pascal, le conjoint d’Ema, permet au futur papa de mieux comprendre son rôle.
Vous allez quitter vos peurs et vos fausses croyances en les identifiant et découvrir les conséquences des protocoles médicaux sur les accouchements.
Vous allez apprendre comment fonctionne l’effet toboggan et découvrir les problèmes créés par les gestes ou traitements médicaux.
Vous allez explorer les coulisses et l’histoire de l’accouchement avec un oeil neuf.
Vous allez comprendre vraiment pourquoi votre précédent accouchement s’est mal passé et réaliser que vous n’étiez pas le problème.
Vous finirez cette étape complètement déprogrammée et prête à vous re-connecter à vos capacités.
Vous (et votre conjoint) allez découvrir en détail et apprendre les étapes clefs de l’accouchement et vous allez savoir ce qui vous attend le jour J.
La phase de dilatation du col et le rôle des contractions sont expliqués en profondeur.
Vous allez vous projeter dans votre jour J grâce aux illustrations basées sur le nouveau langage de la naissance élaboré par Ema.
Des fiches pratiques simples et claires sont mises à votre disposition pour que vous puissiez les imprimer et les consulter à n’importe quel moment.
Ema répond aux questions les plus fréquentes des femmes enceintes (FAQ en vidéo).
Vous serez sereine, rassurée et prête à vivre une nouvelle expérience enrichissante grâce à toutes les connaissances nécessaires de cette préparation en ligne que l’on ne trouve nulle part ailleurs.
“Il y a 4 ans, je donnais naissance à mon premier fils, en France, dans une maternité parisienne. À cette époque je n’y connaissais rien à l’accouchement physiologique ni même à l’accouchement tout court, tout ce que j’avais entendu dire est «ça va faire mal» ou encore «laisse toi faire».
J’avais donc fait entièrement confiance au corps médical et j’avais suivi tout le protocole habituel. Des injections d’hormones, sans que l’on en m’ait expliqué quoique ce soit, à la péridurale, j’ai reçu et suivi tout ce que l’on retrouve dans les structures hospitalières.
Le jour de mon premier accouchement, après 20h de travail, de contractions, le plus souvent allongée, dans une chambre stérile éclairée de néons blancs, j’accepte la péridurale, car le moment fatidique approche et je ne me pensais pas capable, à ce moment-là, de l’endurer.
J’accouche alors de mon fils, sur le dos, puis je reçois un point, il fait 3kg et 51cm. Mais rapidement je ressens un puissant mal de tête, qui m’empêche de me redresser, un mal de tête persistant et profond.
En effet il semble que l’anesthésiste ait raté ma péridurale, il est allé trop loin et cela a occasionné une brèche. Il s’agit d’un trou qui a été fait dans ma colonne, juste derrière l’espace péridurale. Cela a entraîné un écoulement excessif du liquide céphalo-rachidien. En plus du mal de tête et typique de cette brèche, je me suis retrouvée paralysée 24h après avoir donné naissance à mon fils.
Malgré la clinique parisienne cotée dans laquelle j’étais, et malgré l’expérience avancée de l’anesthésiste, j’ai subi par deux reprises les aléas de l’erreur humaine. Je n’ai donc pas un très beau souvenir de mon premier accouchement car j’ai senti que mon corps et mon esprit avaient subi un traumatisme et il m’aura fallu du temps pour oublier tout cela et suivre mon instinct de vouloir un deuxième enfant.
J’ai quitté Paris quelques années plus tard pour m’installer à Bali en Indonésie et quelques semaines après mon arrivée j’apprends avec joie que je suis de nouveau enceinte.
Mais les peurs et les questionnements reviennent. Je me dis « on verra ». Je rencontre rapidement une amie sur l’île qui vient d’accoucher il y a quelques mois, dans l’eau et de façon naturelle, de son 4ème enfant.
Elle me parle de l’expérience magique que cela a été pour elle, chose qui m’interpelle tant j’ai du mal à l’époque à le conceptualiser, mais elle accroche d’autant plus mon attention quand elle me sort cette phrase que je pensais inconcevable : « j’ai accouché dans l’eau puis je suis sortie de la piscine, et j’ai marché avec mon bébé dans les bras »…. « j’ai marché avec mon bébé dans les bras » ! C’est à ce moment-là que j’ai voulu m’intéresser aux accouchements naturels. Moi aussi je voulais marcher après mon accouchement !
C’est alors que rapidement je découvrirais la formation d’Ema et son livre que j’avais commandé et qu’une amie a pu me ramener de France. J’ai alors vécu une véritable révélation.
Il faut dire que ces dernières années nous ont poussé à vouloir reprendre le contrôle sur notre santé et je n’en étais pas à mes premières révélations, mais je tombais des nues quand je découvrais à quel point le business de l’accouchement était, lui aussi, autant contrôlé, et mondialement.
Car à Bali, j’ai envie de dire, c’est pire qu’en France, ici si votre bébé dépasse les 3kg vous êtes rapidement orientée vers la césarienne par exemple.
Suite à la formation d’Ema et après avoir hésité à revenir en France pour accoucher, je décide de rester accoucher à Bali. Je rencontre alors le gynécologue le plus réputé de l’île en terme d’accouchement naturel. Mais je me rends compte au bout de quelques temps que son engagement n’est pas au même niveau que ce que l’on apprend avec Ema.
Déjà la communication avec lui est mauvaise, il parle peu, rassure peu et derrière son masque toujours remonté, comment créer quelconque relation de confiance ? En ces quelques mois je n’aurais jamais vu son visage.
Mon terme était prévu le 3 novembre. Sur le dernier mois et malgré mon apprentissage je fais une faute, j’enchaine chaque semaine une nouvelle échographie pour suivre la position du bébé, je me laisse avoir à accepter simplement les prises de rendez-vous qui me sont proposées avec le gynécologue.
Le 7 novembre, je vais le voir pour une nouvelle échographie et, la sentence tombe. Le bébé n’est toujours pas « parfaitement » positionné et les projections donnent un poids théorique de 4kg, et pour eux c’est le point de basculement, il y a un risque de dystocie des épaules (les épaules du bébé restent coincées lors de l’accouchement).
De ce fait, mon gynécologue m’annonce qu’il ne me prendra plus en charge pour un accouchement naturel dans l’eau à la maison car c’est pour lui trop risqué et qu’il faudra alors que j’aille à l’hôpital (ma hantise, tout ce que je voulais éviter). Ses mots résonnent encore dans ma tête « asphyxie néonatale », « risque de fracture de la clavicule du bébé », « 8 minutes maximum pour intervenir ».
J’avais pourtant tout prévu pour mon accouchement de rêve, la chambre à moins de 10 min de l’hôpital, la piscine, les gallons d’eau pour la remplir, les bougies, les lumières tamisées, la musique et mes affirmations scotchées au mur. Tout ceci s’envole en fumée. Je suis en pleurs, car on me retire à nouveau une liberté, et pour quelle raison ? à cause d’une statistique, à cause de la peur d’un médecin.
Je ne peux qu’accepter, à ce moment-là je suis engagée avec ce médecin, son équipe, je ne me vois pas changer en dernière minute. Et mine de rien, sa peur il me l’a transmise.
C’est mon mari qui ira dans cette chambre que l’on avait louée, retirer toute notre installation, tout ranger et tout ramener à la maison, je n’en aurais pas eu la force.
Le gynécologue me demande de revenir dans 3 jours si jamais je n’avais pas accouché d’ici là, pour contrôler à nouveau la position du bébé dans le ventre. Rentrée à la maison, je me renseigne alors sur la dystocie des épaules et ok cela fait peur mais finalement cela ne représente que 4 cas sur 1000 ! Pourquoi m’a-t-il dit tout cela alors ?
Doit-on dresser la liste de toutes les complications possibles ? À ce petit jeu, on ne ferait plus grand-chose.
Donc allez, inutile de s’affoler, il faut garder la foi, même si ces mots seront suffisants pour installer le doute en moi alors que j’avais confiance en mes capacités et celles de mon bébé. Je n’ai pas aimé ce sentiment car au fond je savais que tout irait bien.
J’ai donc voulu reprendre le pouvoir, reprendre le contrôle et arrêter de me faire embarquer dans la spirale médicale. J’ai alors annulé ce nouveau RDV avec lui, et j’ai décidé que d’ici l’accouchement, finis les rendez-vous avec le médecin, il n’y aurait plus d’échographie, plus de pression, plus de stress. Personne ne décidera à la place de mon fils, c’est lui qui choisira le bon moment pour naître et lui seul. J’avais peur que le gynécologue commence à me parler de déclenchement, voire même de césarienne. Il en était hors de question.
Mais voyez comment la nature rend service :
On est le 13 Novembre, 10 jours après mon terme, il est 21h40 et ça y est je sens des contractions.
Des contractions qui deviennent vite très intenses et très proches. Je m’enferme dans ma chambre, je mets de la musique douce et méditative, j’essaie de détendre ma mâchoire, de trouver une bonne position qui me soulage, debout puis sur ma balle de yoga en attendant que mon mari prépare les affaires et appelle le taxi.
Le taxi arrive à 23h, on est 1h20 après mes premières contractions. Et pourtant je monte péniblement dans la voiture, les contractions sont de plus en plus intenses. Impossible de m’asseoir alors je m’agenouille sur la banquette arrière, les coudes posés sur le dossier.
Nous avions un trajet de 25 minutes jusqu’à l’hôpital. Au bout de seulement dix minutes, je sens mon corps qui veut pousser, je ne sais pas ce qui va sortir, je le laisse faire, c’est ma poche des eaux qui vient de se rompre. Cinq minutes plus tard, je sens une nouvelle poussée arriver, le fameux réflexe d’éjection fœtale que j’ai si souvent entendu dans la formation d’Ema.
Je n’ai même pas le temps de réaliser où je suis, je crie à mon mari « il arriiiive », je rentre mes genoux pour ouvrir le bassin et effectivement, la tête sort. Mon mari vérifie, malgré toute la stupeur qui frappe ce moment, le bébé est bien placé. Le taxi continue de rouler direction l’hôpital, aucune des sages femmes prévenues n’a de toutes façons encore répondu sur le groupe WhatsApp spécialement créé. Je comprends que c’est avant l’hôpital que mon fils a décidé d’arriver.
Les 40 prochaines secondes seront les plus longues pour mon mari car c’est le fameux passage des épaules, et les mots du gynécologue, lui aussi les a entendus. Une autre poussée réflexe arrive enfin et les épaules passent entièrement, quel soulagement ! Puis c’est tout le reste du corps qui glisse dans ses bras. Bébé va bien, je vais bien, et le chauffeur aussi qui continue sa route vers l’hôpital un sourire aux lèvres (à Bali, un bébé qui naît ainsi, ça porte bonheur). Je reprends à peine mes esprits, la douleur était très intense mais tenable, je savais au fond de moi que nous en étions capables.
Nous l’aurons eu cet accouchement naturel, et non contents de vouloir qu’il se passe à l’hôpital, la nature nous a fait ce cadeau de nous en préserver. 10 minutes avant de rejoindre les équipes médicales, mon fils est né, dans les rues de Denpasar à Bali, à l’arrière d’un taxi traçant sa route dans la circulation.
Ce que je peux dire c’est que 4 ans auparavant, pour mon premier enfant, rien de ceci n’aurait été possible. Cette fois, si nous avons pu garder notre sang froid, mon mari et moi, c’est que nous étions préparés.
Le cordon ombilical était par exemple autour du cou du bébé et mon mari l’a simplement délogé, grâce à la préparation il savait que ce n’était pas grave ; ou encore à l’arrivée à l’hôpital, à la sortie du taxi, mon mari me suivait de près avec le bébé dans ses bras quand on m’a installée sur le lit car le cordon était toujours relié à moi. On savait qu’on avait largement le temps avec de le couper.
La formation d’Ema a été notre outil de préparation principal, nous avons pu confirmer ces apprentissages lors de nos merveilleuses rencontres sur l’île avec des personnes spécialisées dans ce domaine, avec qui nous pouvions parler le même langage, être compris et aussi comprendre à notre tour. Oser tenter ce genre de discussions avec du personnel médical classique c’était subir immédiatement le jugement et les avertissements.
À mon tour, je peux enfin le dire aussi, mon accouchement et ma grossesse ont été une expérience magique, enrichissante et pleine d’émotions et j’ai pu à mon tour vivre cette expérience qu’est de marcher son enfant dans les bras moins d’une heure après l’accouchement.
Marin faisait 4kg à la naissance pour 54 cm. Lui aussi n’a pas voulu de l’assistance médicale et s’est débrouillé pour arriver avant que toute équipe ne vienne casser ce processus. (Rien qu’à l’arrivée on a immédiatement voulu m’injecter de l’ocytocine pour délivrer le placenta, que j’ai bien sûr refusé).
Chaque femme devrait pouvoir écouter son instinct et se faire accompagner tout en gardant un consentement libre et éclairé, libre car il n’y a qu’à elle que l’accouchement appartient, et éclairé non pas seulement sur les risques, mais bien sur le protocole qui tente de lui être imposé. Car la peur et l’hyper prévention mènent à la dérive, tandis que le réconfort et la tranquillité d’esprit permettent de tout affronter.”